La future génération des iPhones pourrait intégrer une technologie de communication par satellite évitant le recours aux services mobiles terrestres, affirme Bloomberg. Selon des sources citées par l’agence de presse américaine, Apple travaillerait sur au moins deux nouvelles fonctions qui autoriseraient la transmission de message dans des situations d’urgence et de rapporter des accidents dans des zones non couvertes par les opérateurs classiques.
Des spéculations sur les intentions d’Apple avaient déjà commencer à circuler après les observations de Ming Chi Kuo. Cet analyste de TF International Securities de réputation mondiale suggérait que Cupertino envisageait d’inclure des capacités satellite appuyées sur du spectre Globalstar dans l’iPhone 13 qui doit sortir en septembre.
Min Chi Kuo suggérait qu’une puce Qualcomm 860 modifiée autoriserait les utilisateurs à court-circuiter les services des opérateurs mobiles au profit de liaisons satellitaires Globalstar pour passer des appels et envoyer des textos.
Messages d’urgence
Bloomberg tempère cependant les propos de Min Chi Kuo, estimant qu’Apple ne proposera les liaisons satellites qu’en cas d’urgence et que cette nouvelle fonction concerne les « futurs iPhones » – pas forcément l’iPhone 13.
Bloomberg explique que l’iPhone 13 pourrait certes être doté des capacités matérielles destinées à établir des communications par satellite, mais que la fonction elle-même ne serait pas prête avant 2022.
Un des services évoqués, appelé Emergency Message via Satellite (Message d’urgence par satellite), permettrait d’envoyer des messages à des services de secours et à des contacts préétablis là où la couverture mobile classique fait défaut. L’option serait intégrée dans l’app de messagerie, à côté des fonctions iMessage et SMS.
Un deuxième service permettrait d’envoyer des messages d’alerte en cas de crise majeure, comme des désastres naturels.
Apple travaille déjà depuis des années sur les communications par satellite et explore la possibilité de les intégrer dans les iPhones depuis 2017, ajoute Bloomberg. Et la firme à la pomme n’est certes pas seule sur le créneau. En 2020, le gouvernement britannique a ainsi payé 1 milliard de dollars pour acquérir le réseau de satellites OneWeb. Les autorités canadiennes ont quant à elle décidé d’investir 1,2 milliards dans Telesat LightSpeed. Sans compter bien sûr avec les ambitions planétaires d’Elon Musk avec Starlink.
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